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Le Pouhon Pierre le Grand abrite la source la plus abondante. Naturellement gazeuse, elle est chargée en sels minéraux et riche en fer. Elle débite en moyenne 21.000 litres par jour. L’édifice construit en 1880 par Victor Besme a été entièrement restauré par l’architecte Léo Haesbroeck en 2012.Il abrite l’Office du Tourisme et présente le célèbre Livre d’Or de la ville de Spa, œuvre du peintre Antoine Fontaine, longue de 9 mètres, représentant dans un joyeux désordre chronologique 92 personnages venus prendre les eaux à Spa.Des animations interactives présentent les richesses de la ville de Spa grâce à son passé prestigieux et aussi au dynamisme actuel de la cité thermale.Ouvert : horaires de l’Office du Tourisme. Accès à la source : 1 €.

Située à plus de 400m d’altitude, cet emblématique pouhon spadois est alimenté par une eau ayant transité durant des décennies dans les profondeurs souterraines de la Fagne de Malchamps, lui conférant son caractère ferrugineux et naturellement gazeux à la source.

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Construite en 1995, cette tour d’observation haute de 24m offre une vue à 360° de la fagne et sa région.

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La principale légende qui se rattache à ce rocher raconte que Remacle et ses moines construisaient un monastère sur les bords de l’Amblève. Apprenant la nouvelle, le diable se mit en route avec un énorme rocher pour détruire la construction. Prévenu du projet, Remacle rassembla toutes les vieilles chaussures des moines et partit à la rencontre du diable. Il lui fit croire qu’il avait usé toutes ces chaussures depuis son départ de l’abbaye. Le diable, découragé, laissa tomber lourdement le rocher que vous pouvez observer en contre-bas du chemin.

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C'est la plus importante cascade de Belgique : 15 mètres...Ce sont les moines de l’Abbaye de Stavelot qui sont à l’origine de cette cascade. Ils ont détourné un méandre de la rivière Amblève pour alimenter le moulin situé en contrebas de l'actuelle Cascade de Coo. Cependant, il est probable qu'avant cette modification l’eau de la rivière débordait déjà et se répandait sur les rochers avoisinants. Il s'agirait donc tout de même d'une cascade naturelle.Au tout début du 19ème siècle la cascade attirait déjà du monde! En effet, Coo faisait partie du circuit des «Amusements de Spa». C'était le début du tourisme belge et européen...

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L'Abbaye de Stavelot... la destination 5 soleils!Le Musée historique de la Principauté de Stavelot-Malmedy.Durant plus de mille ans, la principauté exerça son influence sur un territoire dépassant largement les frontières de la Belgique. Le Musée de la Principauté de Stavelot-Malmedy propose un itinéraire moderne et ludique de l'Histoire d'un Etat de l'ancien Régime. Images et sons, objets et oeuvres d'art sont intelligemment orchestrés par les plus récentes techniques du multimédia.Nouveau : Espace Wibald, abbé d'Empire au 12e siècle.Le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps.Dans les caves voûtées de l'Abbaye, le musée retrace l'histoire du "plus beau circuit du monde". Une présentation de véhicules d'exception, de documents vidéo inédits et d'objets insolites, font vivre la passion des pionniers aux pilotes d'aujourd'hui. Jeunes et moins jeunes seront Fangio, Senna ou Schumacher lors d'un tour virtuel de l'anneau ardennais.Le Musée Guillaume Apollinaire.Ce musée à l'ambiance feutrée évoque le séjour du poète dans la région de Stavelot et plonge les visiteurs dans l'univers de l'auteur de la "Chanson du Mal-Aimé" : un parcours initiatique dans l'oeuvre de l'une des personnalités marquantes du siècle dernier, à travers ses écrits et le regard de Picasso, Chagall, Cocteau...En plus des 3 musées, une exposition temporaire est régulièrement organisée!

L’ensemble architectural qui entoure ce vaste espace recouvert des galets de l’Amblève est classé. La plupart des maisons datent des 18e et 19e siècles. Au centre, la fontaine porte le perron de la ville, symbole des libertés acquises par le peuple.

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L’église Saint-Sébastien est un édifice religieux catholique du XVIIIe siècle, sis place Vinâve, à Stavelot. Construite en briques et calcaire et consacrée en 1754 l’église abrite la châsse des reliques de Saint Remacle, un trésor d’orfèvrerie mosane du XIIIe siècle.

Particulièrement apprécié par les pilotes du monde entier, le circuit de Spa-Francorchamps fait partie des tracés légendaires du sport automobile. Créé en 1921 son tracé original court sur 15 km 820 m, aujourd’hui le circuit de 7 km 04 serpente dans un décor naturel. Il accueille tout au long de la saison des courses prestigieuses dont le célèbre Grand Prix de F1 ou encore les 24 h motos.

Ancienne bascule acquise par la commune de Francorchamps en 1956. Elle servait à peser les marchandises agricoles qui traversaient le village.Le mécanisme est visible à l'intérieur.

La Hoëgne prend sa source à 660 mètres d’altitude à proximité de la Baraque Michel. Elle serpente dans les tourbières fagnardes. À la passerelle du Centenaire, construite en 1930 à l’occasion du centième anniversaire de l’indépendance de la Belgique, la pente s’accentue et la Hoëgne devient torrent jusqu’au Pont de Belleheid, à 380 mètres d’altitude. La Hoëgne fut le site d’une importante exploitation du minerai de fer au cours des siècles passés.

Cet arbre remarquable appelé « le Vieux Chêne » fait plus de cinq mètres de circonférence et est âgé d’au moins 500 ans. La tradition voudrait que Charlemagne y ait rendu justice. Cet arbre est classé depuis 1960.Il est situé en bordure de la remarquable place du marché du village de Sart. Cette place est entourée de plusieurs bâtiments classés tels que la tour forte de l’église Saint-Lambert, le perron ou encore la maison Lespire.

Ce petit hameau situé au pied du plateau des Hautes-Fagnes est considéré comme l’un des plus beaux de la région. Le village a su au fil du temps garder tout le charme des petites bourgades rurales caractéristiques du plateau fagnard au 19e siècle. Le village situé à la croisée des vallées de la Statte, la Sawe et la Hoëgne est le point de départ de nombreuses promenades.

Cet imposant rocher de quartzite culmine à 40 mètres de hauteur, ce monument naturel incontournable de Solwaster offre à son sommet un très beau point de vue aménagé sur la Statte.Son nom proviendrait du celtique « Bil » signifiant saillant et « Lech » signifiant la pierre.

Cette croix rappelle l’histoire dramatique de deux amoureux morts en Fagne durant le mois de janvier 1871 : Marie Solheid et François Reif. François travaillait à la construction du barrage de la Gileppe, Marie était servante dans une ferme près de Dolhain. Afin de se procurer les documents indispensables à leur mariage, ils ont entrepris la traversée de la fagne à l’approche d’une nuit hivernale, les deux amoureux sont morts de froid. La croix est posée à proximité des lieux où l’on a retrouvé les malheureux.

Ce vaste espace s’étend sur quelque 5.000 hectares et représente le plus grand espace protégé de notre pays. Le paysage fagnard est exceptionnel par la richesse de sa flore et de sa faune. Les fagnes se sont formées il y a environ 10.000 ans, à l’issue du dernier épisode glaciaire, sur les sols schisteux imperméables d’une très ancienne crête. Le point culminant des Hautes-Fagnes s’élève aujourd’hui jusqu’à 694 m au-dessus du niveau de la mer et en fait le plus haut de Belgique

Le Chemin des échaliers est un itinéraire original, linéaire de longue distance qui traverse les prairies reliant Jalhay à Aubel. Les échaliers sont des dispositifs permettant aux piétons de franchir une clôture ou une haie entourant une prairie sans permettre au bétail de s’échapper. Un échalier peut prendre la forme d’une échelle, d’un portail, d’un tourniquet. Les plus anciens sont composés d’une « pierre debout » ou « pierre dressée »

Le Lac de la Gileppe, DESTINATION 360°FUN – RESTO – PATRIMOINE – NATURE Profitez d’une multitude d’activités pour tous les âges et pour tous les styles !Accrobranche, location vtt et ebikes, geocaching, tour et ascenseurs panoramiques, restaurant panoramique, barrage, expo gratuite, lion, balades fléchées à pied ou à vélo.Accès facile et grand parking.

Ce vieux pont romain, dont on ne connaît exactement la date de construction et qui traverse la Hoëgne se trouvait sur l’Antique voie romaine allant de Trèves à Tongres , appelée « Voie du fer ». En moellons calcaires, le tablier du pont est construit en léger dos d’âne, au-dessus de deux arches en anse de panier. Le Vieux Pont de Polleur a été reconstruit deux fois car les années l’ont abîmé des suites de très nombreux passages. Il a été remis en état en 1767 et en 1978. Les constructeurs ont veillé à ne pas changer son aspect ; il n’a pas changé au fil du temps et a gardé sa beauté architecturale. Cet ouvrage est repris sur la liste du patrimoine wallon.De part et d’autre sur les parapets, deux œuvres remarquables en bronze : un Christ, daté de 1767, et la Vierge de l’Enfant. Celle-ci fut volée dans les années 90 et remplacée par une œuvre de Jacques Dubois. Par ailleurs, au début du XXe siècle, était édité à Verviers, en période électorale, un journal humoristique appelé « La pont de Polleur ». Ce pont est également l’objet d’une légende, à l’origine de la fête biannuelle du Coucou.

Franchimont, ancienne place forte de la Principauté de Liège, occupe un promontoire qui domine trois jolies vallées au nord de l’Ardenne, à 8 km de Spa.Les vestiges actuels sont les témoins spectaculaires d’un château-fort du Moyen-Age entouré d’une grande enceinte d’artillerie du XVIème siècle. Les casemates et leurs souterrains d’accès remarquables sont les points forts de la visite.Découvrez le château à votre guise avec nos audioguides personnels interactifs et présentation multimédia !Ouvert : du 01/05 au 30/09, tous les jours de 11h à 18hAvril et octobre, uniquement le WE de 11h à 17h.Tarif :Adulte : 7 €Enfant de 4 à 12 ans : 3,5 €Seniors : 4,5 €Etudiants : 4,5 €Audioguide: 2€

La concession d’un perron à Theux date de l’an 1456. Elle fut faite, non par l’assentiment des Trois-Etats (Clergé, Noblesse et le Thiers Etat (c’est-à-dire Peuple)) mais uniquement par les Bourgmestres de Liége, alors capitale de la principauté liégeoise.Le perron était l’emblème le symbole des libertés communales ; mais comme son érection à Theux n’avait pas été concédée par les Trois Ordres ci-dessus, notre cité theutoise n’avait pas le droit d’obtenir que ses bourgmestres fissent partie du troisième ordre !... La concession n’était qu’honorifique, comme ce fut le cas pour les communes de Jalhay, de Sart, de Spa et de Verviers. Cette dernière ville n’obtint ce droit que plus tard, lorsqu’elle fut érigée au rang des « Bonnes villes », c’est-à-dire dans le courant du XVIIe siècle.Cependant les habitants de Theux furent censés membres de la Cité de Liége et conséquemment affranchis et privilégiés, comme les bourgeois de la capitale, du moins pour ce qui concernait leurs marchandises, denrées etc. Les bourgeois prêtaient le serment que les marchandises, qu’ils conduisaient et amenaient leur appartenaient et qu’aucun bourgeois n’y avait part.A cette époque (1456) Louis de Bourbon venait d’être élu Prince-Evêque de Liége. Il ne tarda pas d’être en brouille avec les deux bourgmestres de Liège. C’est par vengeance, que ces derniers immatriculèrent aux Bonnes Villes (du moins honorifiquement), le bourg de Theux, car leur décision prise par eux SEULS n’était pas bien légitime !...Theux vit son perron anéanti en 1468, lors de l’invasion du Pays de Franchimont par les soldats du Téméraire, venu, à la tête d’une armée, peur punir les Franchimontois de leur tentative contre sa vie, au mont Sainte-Walburge à Liége le 29 octobre 1468.Il accomplit sa vengeance en saccageant et en incendiant les villages du pays, dont les habitants s’étaient réfugiés dans les forêts, mais il respecta le château-fort de Franchimont (qui appartenait au Prince-Evéque) ainsi que les églises.Le premier perron date de 1456. Il fut détruit par l’armée de Charles-le-Téméraire à la fin de l’année 1468.Plus tard il fut remplacé par un autre qui fut renversé et brisé par un ouragan... Ses morceaux se trouvent en la Cour du Palais à Liége.Le perron que nous voyons maintenant date de l’an 1768 et fut érigé sous le règne du Prince-Evêque de Liége Charles-Nicolas d’Oultremont, dont on remarque le blason martelé par les révolutionnaires de la fin du XVIIIe siècle.A Theux, comme à Liége, existait la coutume des « Cris au Perron » c’est-à-dire d’ « Appels et semonces » faits aux coupables inconnus d’avoir à se dénoncer par devant la « Cour de Justice » locale... De même, la publication des lois se faisait sur les degrés du Perron, ainsi que la convocation des habitants à assister aux Plaids généraux le 6 janvier.Par un arrêté royal en date du 29 août 1842, la commune de Theux s’est vu octroyé la faveur d’avoir un blason coupé de Franchimont et de Liège c’est-à-dire au 1er d’argent à trois lionceaux couronnés de sinople... en pointe : de gueules, au perron d’or, accompagné des lettres L G du même ! Notons que ces lettres signifient : Libertés du peuple, symbolisées par le perron.

Situé en bordure de la Hoëgne, ce lieu-dit regroupant une ancienne forge et une habitation, évoque une activité métallurgique dont l’origine remonterait au 15e siècle.L’activité des forges s’est poursuivie durant plus de 3 siècles.

AVENTURES AU COEUR DE LA FORÊT ! Situé à La Reid sur la commune de Theux, à 8 km de Spa, FORESTIA est un lieu dédié à la compréhension de la nature. FORESTIA vous invite à vivre la nature à 100%. Autant le faire en s’amusant ! C’est pourquoi FORESTIA vous propose, trois activités majeures. Le Parc Animalier vous invite à découvrir les animaux de nos climats en semi-liberté dans un site unique et privilégié. Plus de 40 hectares de plaines et de forêts hébergent nos 300 animaux répartis en une trentaine d’espèces. Le Parc Animalier est ouvert toute l’année à partir de 9.30h (10h en basse saison). (cas particuliers : www.forestia.be). Fermeture les lundis et mardis en basse saison. Le Parc Aventure vous propose une promenade dans les arbres, à la découverte de la forêt et de ses habitants, mais aussi une redécouverte de soi à travers une performance au parfum d’aventure (11 parcours dans les arbres, plus de 100 obstacles !). NOUVEAU ! Le parc d’escalade vous invite à tester l’escalade en douceur ! 12 voies d’escalade outdoor de 10 mêtres sur 6 pans de mur dans la forêt ! A partir de 8 ans, sportifs et non sportifs (difficultés variables). Le Parc Aventure & d’escalade est ouvert tous les week-ends et tous les jours durant les vacances scolaires belges et les jours fériés, de mi-mars à mi-novembre. Le Forest’bar, un resto-bar au coeur de la Forêt ! le Forest’bar est ouvert de mi-mars à mi-novembre, dès 11h, uniquement aux visiteurs du parc Forestia, les WE, jours fériés et congés scolaires belges. Toute l’année : ouvert à tous les vendredis et samedis soirs dès 18h (cas particuliers : www.forestbar.be). Sans oublier la grande plaine de jeux, les mini expos, l’exposition sur les loups,...

La charmille est une plantation d’arbres nommés charmes, faite en double rangée de manière que, lorsque les arbres grandissent, ils forment une voûte s’appuyant sur une structure métallique.La Charmille du Haut-Marêt (ou Haut-Marais) à La Reid est connue comme la plus longue d’Europe, grâce à ses 573 mètres (et encore, elle était d’une longueur double au moment où elle a été plantée !) ; elle compte environ 4.700 plants de charmes, qui sont entretenus par l’Ecole d’Agronomie voisine (un mois de travail par an par une équipe de jeunes étudiants encadrés par des professeurs).La Charmille est accessible gratuitement tout au long de l’année. Sa promenade est agréable quelle que soit la saison, car les couleurs varient du blanc à différents verts en passant par toutes les nuances de doré !

Cette cascade formée par un petit ru provenant de Desnié est très jolie. L’eau autrefois abondante y a creusé une crevasse importante avec un dénivelé de 50 mètres. Son nom fait vraisemblablement référence à l’activité sidérurgique de la vallée.Halde étant un terme de métallurgie signifiant «masse de matière qui provient des minerais rebutés». Ce terme est aujourd’hui désuet.

Le nouveau bâtiment abritant les « Thermes de Spa » doit sa conception à l’architecte Strebelle, architecte de la Place Saint Lambert. Dominés par la lumière et les lignes courbes, ces bâtiments, implantés au sommet de la colline Annette et Lubin, intègrent magnifiquement à la nouvelle architecture créatrice du lieu, la paix intérieure et le confort relaxant que vous êtes venus y puiser. Si depuis 1868 vous affectionnez les Thermes de Spa, c’est que dans ce périmètre préservé de nature, l’eau, partout présente, est comme chargée de la force de la terre. Aujourd’hui, si rien de l’essentiel ne change, les Thermes vous offrent un visage neuf. Encore plus ludiques, toujours préventifs et plus proches de l’air du temps, les nouveaux Thermes de Spa vont ainsi vous faire plonger autrement au cœur des vertus bienfaisantes d’une eau quasi-magique et vous aider, avec une dimension accrue de plaisir, à remonter aux sources de votre bien-être.

C’est en 1758 que le Parc de Sept Heures fut aménagé en promenade publique. On y trouve de nombreux monuments : celui de l’Armistice, offert par le Major C.E. Radcliffe, nommé bourgeois de Spa en 1925 ; du Compositeur Meyerbeer qui, de 1829 à 1860, vînt chercher l’inspiration à Spa ; celui de Jean d’Ardenne, écrivain de qualité, né à Spa, propagandiste incomparable de ce pays. Egalement le monument Gridelet, la pierre de l’Association des Coloniaux, la stèle du 1er Lancier, le monument aux Fondateurs des Promenades, et enfin, à la sortie du parc, le monument du Maréchal Foch. On sait que le généralissime vînt à Spa après la première guerre mondiale et qu’il y eût des entretiens avec le plénipotentiaire allemand Erzberger.